Chapitre V : Kili

Sarnak a écrit:J'avoue avoir des souvenirs assez flous de certaines de nos parties de donjons, mais est-ce que Sarnak ne connaissait pas déjà Kili ? Je me rappelle plus trop...

Très bonne question, seul François pourra nous éclairer je crois...

(Non, je ne crois pas que Sarnak connaisse Kili car c'est le compagnon de Sylkyn et d'Hitolsta (l'elfe noir de Yannick Long). D'ailleur Sarnak et Sylkyn ne se sont jamais rencontrer avant aujourd'hui.Sarnak était le compagnon d'aventure ou de Mésaventure à Darkyn dans la compagnie de la plume. )

En fait, je me rappelle plus trop qui j'ai rencontré en tant que Sarnak dans le temps, car un moment donné, comme je l'ai brillamment rappelé à Martin, j'ai rencontré Voortgill dans la cité en ruine soù j'ai crevé... enfin, c'Est très flou et très vieux (dans le temps qu'on jouait chez Yannick Long...). Enfin, trop long à raconter par écrit, je me rappelle surtour que Paul "Pot" Duquette jouait

Dans la pénombre de la salle, faisant appel aux forces miraculeuses d'Odin, le prêtre au visage buriné impose ses mains au-dessus de l'ami du Roi elfe en marmonnant une prière incompréhensible. Aucune lueur, aucun bruit étrange. Seul le corps du hobbit, atteint de spasmes et de frémissement, semble réagir aux incantations de Sarnak.

Après un bref instant, oh ! Pas plus d'une minute, Kili ouvre les yeux. Les bosses, les plaies et les ecchymoses de son visage se sont graduellement effacées, à un point tel en fait que le petit-gens est en mesure de s'assoir presque aussitôt dans son lit improvisé. Regardant autour de lui et n'apercevant qu'une grande salle pas très amicale, il dit :

- Par le grand Canailloux ! Qu'est-ce que c'est que c'est que ces croquignolles ! Où sont les enfants ? Sylkyn ?

Il se lève, ne voyant qu'une vieille lanterne cabossé posée sur le sol. Il tend la main à sa ceinture, rien. Il inspecte aussitôt sa main droite et crie :

- Ma bague ! Ma bague ! Un arnaqueur me l'a prise !

Il recule vers le mur, l'air terrifié.


(Note DM : Si je ne me trompe pas, tout le monde, y compris Olash et Gustav ? Sinon, je considère que ces deux là sont plus loin, dans le noir).

Que faites-vous ?

Sylkyn redevient visible.
- Kili, mon ami! Tu es enfin remis sur pied! C'est une affreuse histoire qui nous a amené ici! et si tout ces gens ne m'aurait pas aidé...Hé! Bien! Je ne donnerais pas chère de ta peau!
-La plupart d'entre eux sont invisible, car vois-tu ...(Je lui raconte tout depuis notre séparation suite à notre expédition nocturne dans la forêt voisinant le chateau de Tin-Dath.)

Le hobbit sursaute comme un poisson dans une poêle à frire :

- Ah ! Hein ?

Et ce n'est qu'un début puisque chacune des péripétie racontée par l'elfe peint sur son visage des expressions on ne peut plus expressives :

- Oh ! Aah ! Eh bein ça ? De quoi, quoi, quoi un dragon ???

- Mais toi, mon ami, qu'est-ce que tu te rapelles??? Tes informations pourraient peut-être nous aider à progresser!
Sylkyn remet le poignard de Krovas (HA!HA!HA! j'ai réussi à le placer dans la game...but who the fuck is Krovas???D'après mes notes c'est une dague normal 1d4.) au Petit-Gens.
- Tiens Kili! C'est le mieux que je puisse faire pour l'instant! Je peux aussi te refiller mon arc court magique, si tu maîtrise ce genre d'arme? Il faudrait peut-être penser à retrouver ton équipement! De plus on à libérer 2 autres prisonniers qui eux aussi gagneraient à être équipé!

-Hmmmm je crois qu'ils sont tous mort...

-Maître des lieu!!! Vous avez besoin d'un laquet??!!!

Le petit-gens jette des regards autour de lui et il n’est pas long à remarquer les restes des victuailles que la magie du prêtre a fait apparaître. Se balançant sur ses pieds, il jette des regards furtifs vers la nourriture en poussant des : hum-hum, comme des sortes de reproches discrets.

Sylkyn n’est pas long à remarquer son petit manège et lui dit qu’il peut aller se servir… tout en racontant son histoire. Son petit ami ne se le fait pas dire deux fois et c’est entre deux bouchés de pain rustre et de fromage que vous parvenez à saisir son histoire … Il regarde autour, se demandant bien qui est là. Les Olash et Gustav se sont approchés et, après les avoir questionné, demandé qui « était-là-mais-qu’on-voyait-pas », Kili débute enfin son histoire :

« Quand ton parchemin magique a mal fonctionné, très mal fonctionné – merci encore oh ! mon ami Sylkyn ! – je ne me souviens pas de grand-chose, sinon que les kobolds me sont tombés dessus et qu’après en avoir abattu, bah, à vue d’œil, disons une bonne cinquantaine, au moins, un de leur chef m’a pris par surprise et m’a assommé par derrière.

Crunch-Crunch… Pas fameux vos rations de route…

Bon. Quand je me réveille, qu’est-ce que je vois-t-y pas ? Eh oui, des kobolds. Mais pas cent kobolds, Oh non. Et pas deux cents kobolds, Oh que non ! Et pas trois cent ko… Hein ? Vous avez compris ? Bon, bon. Enfin, il y avait une véritable mer de kobolds ! Une armée ! Non, pas une armée : plusieurs armées ! Il y en avait plus que de poux dans le cul d’un ogre ! On était dans une sorte de grande salle, immense. Autour de moi, il y avait d’autres prisonniers. Des humains surtout, des types de Belle-Baie et d’autres places.

Bien entendu, les chiens d’écailles m’avaient complètement dépouillé ! Tout ! Et surtout ma belle bague en or que j’avais trouvée sur l’elfe noir. Enfin. Là, il y a une espèce de kobold, mais un grand là, un kobold de deux ou trois mètres de haut ! Qui leur sert un discours que je comprends qu’à moitié. Ça parle de festin, de pillage et de domination du monde. Bon, rien pour me rassurer. Tout excité, ils nous ont ensuite poussés à travers des tas d’escaliers et de corridors pas toujours très illuminés. Pas besoin dire que cette vermine s’est pas privé de nous frapper à coup de fouet et à coup de bâton ! Et même les petits d’humains ! Ce que je sais, c’est qu’on grimpais et qu’on a franchi plusieurs postes de contrôle avant d’être amené dans une forge.

J’ai bien essayé de les convaincre que j’étais un talentueux forgeron, mais ils m’ont pas cru et ils m’ont envoyé aux prisons. Je pensais qu’une journée d’étude auprès de maître Rissill était la plus horrible chose au monde, mais la prison, c’est pire. Ils m’ont d’abord envoyé dans les souterrains humides et plus noir que le noir de… de… du noir. Ces chiens de kobolds (c’est le cas de le dire !) savent comment faire souffrir. Et si j’y ai un peu échappé, c’est que les minotaure avec leur grosse face de vache morte avaient décidé de se servir de moi comme dessert, ou comme entrée. Peu importe.

Les kobolds se sont quand même bien amusés à me plonger la tête sous l’eau pour me noyer. Quand on m’a remonté en haut, je savais que c’étais la fin. J’ai fait ma prière à Bolo et je m’apprêtais à partir pour de bon. J’y suis resté une journée, plus une autre. Je perdais connaissance de temps en temps et tout ce que je souhaitais, c’étais de perdre définitivement la carte, car les faces de bœuf mangent leur victimes vivantes. »

S’arrêtant de manger, Kili se fige un bref instant, puis conclut :

- Vous êtes arrivé au bon moment. Tous. Je vous dois la vie. Mais je dois surtout beaucoup de souffrance à ces chiens d’écailles.

Sylkyn a rarement vu autant de colère sur le visage de son ami…

Sylkyn retrouve l'appétit et partage le repas de son ami, tout en écoutant son récit.
Il s'adresse ensuite au reste de la compagnie invisible.
- Je ne sais pas pour vous Messieux, mais dans mon cas je suis de l'avis de Kili! Il y a quelqu'un qui doit payer pour toute cette souffrance!!!

Moui... bon, deux questions:

1. Avec ce petit hobbit surexisté qui doit gesticuler et parler et tout et tout, pourquoi sommes nous encore invisibles non de diou de non de diou ?

2. Je vieux bien venger qui vous voulez, après tout, un kobold mort est un bon kobold, mais on commence où ? Vous voulez vous tapper la montagne au complet ? Vous voulez retrouver ce grand kobolds de 2 mètres de haut ? Soit... mais dit moi mon nouvel ami, saurais-tu retrouver ton chemin dans ces longs et sombres tunnels que tu as traversé, ou bien allons nous faire comme depuis je suis avec votre joyeuse compagnie: allez à l'aveuglette ? Non pas que je sois particulièrement inquiet, mais aussi bien savoir tout de suite, je vais préparer des rations...

Kili regarde à gauche et à droite :

- Hein ? Qui parle ? Vous guidez ? Peut-être ! Je me rappelle pas de tout, mais un peu !

Ok!!!

On ai encore invisible, car si on redevien visible, on perd le sort et l'elfe dois le réétudier.

-Bon retour parmit nous, je suis Sarvok, un petit-gens comme toi!!!

Moi aussi je lui raconte notre périble depuis sa capture, en détail de petit gens!!! Pour ce qui est de la suite, je doute qu'il puisse nous guider plus haut dans la montagne, il a sans doute été apporter par l'entré principal ou l'on a vu de troupe de kobolds rassemblés. Pour monter dans la montagne, je crois que l'on va aller vers l'inconnue...

-Selon l'histoire que tu nous as conté, les escaliers dans les cellules mennais a d'autre cellule style garde manger? Selon ce que j'ai comprit?

Pour ce qui est de réétudier un sort maître hobbit (le tavernier, pas la boule qui s'empiffre...), je vais moi-même devoir me recueillir un bon moment; j'ai dû faire appel à Odin afin de ramener à la vie notre nouvel ami, alors... D'ailleurs, avant de repartir en expédition, je vais aller méditer quelques moments.

Note du DM : Ah ! Je crois qu'on vient de comprendre pourquoi les prêtres sont toujours en train de prier ! Ils ont besoin de sorts ! On en apprend des choses à D&D...

- Décidément, Odin est exigeant! Se dit le roi elfe pour lui-même.
- Je crois qu'on s'entend tous pour continuer l'aventure!
( Je fais un petit récapitalatif pour l'invisibilité. Tout le monde est invisible sauf moi et Kili. Ce qui quand on y pense fait une conversation complétement suréaliste.)
- En tout cas mon chère Kili, pour ce qui est des affreuse tête de vache comme tu les as surnommés, je crois qu'ils ont terminé leurs festin pour l'éternité!
- Il faudrait établir un plan pour la suite, pendant que le prête médite! Quel direction on prends?

-Très bien! Donc si on continue a progresser vers le haut, on peut continuer dans le passage qui passe devant la prison, il y a aussi 2 chemin dans la direction de la forge, que nous n'avons exploré encore. Le chemin de la prison longe un autre passage inconnue, je suggére donc ce chemin. Je prendrai bien un petit soin aussi svp! Une chose invisible ma attaqué!!!(manque 5 pv)

J'ai tout mes sorts, donc je monte la garde.

-Ça me va pour le chemin qui longe la prison!
(Pour mes études j'en ai pour 3h10. Ce qui est franchement moins éxigent que les supôts d'Odin )

Olash et Gutav sont-ils eux aussi invisibles ?


Combien de temps faut-il au prêtre ?

Le communisme est-il soluble dans l'alcool ?

( Un elfe avec 19 d'intéligence peut répondre à toutes ces question.... )
( 1- Olash et Gustav sont invisibles, car il me restait deux sorts avant d'étudier et de partir à la rescousse de Kili. Je les ais donc mis invisible là. )
(2- Le temps que sont Dieu décidera...HA!HA!HA!)
(3- Le communisme n'est pas soluble sans l'alcool, car c'est un des produits (la Vodka) les plus exporté de la Russie. Donc économiquement ils en ont besoin. Deuxièment, il faut être fortement intoxiqué pour penser qu'on est tous sur un même pied d'égalité! )

Sylkyn a écrit:( Un elfe avec 19 d'intéligence peut répondre à toutes ces question.... )
( 1- Olash et Gustav sont invisibles, car il me restait deux sorts avant d'étudier et de partir à la rescousse de Kili. Je les ais donc mis invisible là. )
(2- Le temps que sont Dieu décidera...HA!HA!HA!)
(3- Le communisme n'est pas soluble sans l'alcool, car c'est un des produits (la Vodka) les plus exporté de la Russie. Donc économiquement ils en ont besoin. Deuxièment, il faut être fortement intoxiqué pour penser qu'on est tous sur un même pied d'égalité! )

Eh bein, tu m’impressionnes...

En ce qui me concerne, je vais méditer un bon 7 heures... je vous laisse libres de vos occupations messieurs. Avant de partir, Kom alt til den store festen Odin ! "Allez, restaurez-vous !!"

HUm, une autre question technique de premier ordre : la nourriture ingéré par un individu invisible devient-elle invisible ? Sinon, j'ose pas imaginer la gaité d'un bon repas où, tout ce qu'on voit, sont des aliments mastiqués puis digérés...

Héhé sa devient invisible voyons!!!

À mon avis, il doit y avoir une fine "couche" d'invisibilité sur l'individu car sinon, dès que de la poussière toucherait l'individu, ce dernier redeviendrait visible, du moins, les parties du corps que la poussière toucherait. Après peu de temps dans des souterrains poussièreux, ce sort deviendrait rapidement inutile. Donc, non, à mon avis, on verrait pas la bouffe entrer dans le corps, encore heureux!

Voilà une fine analyse. Bravo !